Une soirée surprenante où 4 artistes occuperont la scène, laissant place à quelques duos improbables !
Les spectateurs et spectatrices auront la chance d’assister à la performance électrisante de Hubert Lenoir, un artiste audacieux qui repousse sans cesse les frontières de la musique. Patrice Michaud, avec ses chansons chargées d’émotion et d’humour, fera rire, danser et réfléchir le public, tandis que Lou-Adriane Cassidy, talentueuse et charismatique, captivera les spectateurs avec ses compositions sincères et touchantes. Fred Fortin, maître des mélodies entraînantes et des paroles percutantes, apportera quant à lui sa signature unique et bien de chez nous.
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Patrice Michaud fait son apparition dans le paysage musical québécois en 2008 lors de son passage fort remarqué au Festival en Chanson de Petite-Vallée. L’auteur-compositeur-interprète originaire de Cap-Chat en repart avec trois distinctions et l'envie de continuer à ne faire que de la musique. En 2009, il est nommé grand lauréat du Festival international de la chanson de Granby et présente en 2011 son premier album, Le triangle de Bermudes. Après 140 représentations au Québec et dans toute la francophonie ainsi que de multiples distinctions, on peut dire qu'une belle carrière s'ouvre pour lui.
En 2014, il lance Le feu de chaque jour, pour lequel il remporte le Félix de l'Album de l'année – Folk, Spectacle de l’année ainsi que le Prix de la Chanson SOCAN pour Mécaniques générales.
Il nous revient en 2017 avec un nouvel album poignant et électrifiant : Almanach. Le premier extrait, Kamikaze, s’est hissé au sommet des palmarès radios et a remporté le Félix de la Chanson de l’année au Gala de l’ADISQ 2017, au même moment où il a été sacré Interprète masculin de l’année, consécration qui lui a aussi été décerné l’année suivante
Il débute l’année 2020 en s’offrant et en offrant à son public le spectacle Un Michaud sur son 36, en mode symphonique avec l’Orchestre symphonique de Québec qui a notamment foulé les planches du Grand Théâtre de Québec et de la Salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts à Montréal. Les mois qui ont suivi ont été consacrés à la création de son nouvel album tout en dévoilant les deux premiers extraits: le succès radio La grande évasion et la poignante À qui l’aura.
Au début de l'année 2020, Patrice Michaud se retrouve à la barre de l'animation des variétés de l'émission Star Académie et à l'automne 2021, il nous présente son tout nouvel album, Grand voyage désorganisé. Fruit d'une période improbable, le spectacle, tout comme le nouvel album qu'il défend, décline en différentes couleurs la grande quête de l'ouverture vers l'autre et porte un regard vers le pays intérieur. -
Hubert Lenoir est un jeune auteur-compositeur-interprète rempli de bonnes intentions qui a grandi à Beauport, en banlieue de la ville de Québec. Jeune, Hubert s’initie rapidement à la culture de masse par Vrak TV et les jeux vidéo. Lorsqu’il n’est pas scotché devant le petit écran, il vole les bijoux de sa mère et les porte en cachette. Au secondaire, ses confrères le décrivent comme «étrange» et «fif», lui s’entend comme une âme perdue. Un jour, il fait la connaissance de deux autres amis «étranges» et «fifs». Ensemble, ils découvrent Donovan, Brian Eno, Elton John et s’encouragent à porter des vêtements de femme pour aller en cours. Des mélodies commencent à se faufiler dans sa tête.
Rapidement, Hubert Lenoir abandonne l’école et cumule plusieurs emplois dont un poste d’ouvrier à la chaîne de montage dans une usine de fenêtres pour immeubles commerciaux. Il commence à chanter dans la rue comme amuseur public. C’est à 17 ans qu’il forme avec son frère The Seasons. En 2014, la formation fait paraître son premier album Pulp à l’origine d’une reconnaissance critique et d’un accueil enthousiaste du public. S’en suit une tournée qui dure plus de deux ans et qui les fera voyager un peu partout dans le monde, de Berlin à Los Angeles. Malgré le succès du groupe, Hubert continue à chanter dans les rues où il offre des performances explosives.
Au retour d’une longue tournée, Hubert Lenoir vit une année de tumultes, d’insomnie, de fast-food et de blockbusters lors de laquelle s’écrit et s’enregistre Darlène, un album concept qui est accompagné d’un roman du même nom écrit par Noémie D. Leclerc, sa meilleure amie et son amie de cœur. Entièrement réalisé à Québec, cet opus marie les influences de R&B, de glam rock, de prog, de rock psychédélique, de jazz et fait de Darlène une œuvre pop, éclectique, imprévisible et audacieuse, s’inscrivant comme un opéra post-moderne sur le «coming of age» d’une génération. Après avoir reçu des critiques élogieuses de la communauté médiatique, ce premier album se fraie un chemin sur la courte liste du prestigieux Prix de Musique Polaris. Une entrée en matière pour celui qui collectionnera 4 Félix au Gala ADISQ 2018 et plusieurs nominations aux Prix Juno l’année suivante. Parallèlement, Hubert Lenoir soigne sa réputation sur scène des deux côtés de l’Atlantique à coup de prestations incandescentes. Des prestations qui lui vaudront des invitations dans plusieurs des festivals les plus prestigieux en France et en Belgique. Une âme voyageuse qui sera saluée au Gala ADISQ 2019 par la catégorie «Artiste de l’année ayant le plus rayonné hors Québec».
Après s’être placé en mode «ne pas déranger» pendant deux ans, Hubert Lenoir dévoile son PICTURA DE IPSE : musique directe au début de l’automne 2021. Compilant plusieurs milliers d’heures de travail entre Los Angeles, Tokyo, Laval et Québec, cet album se veut une oeuvre extrêmement personnelle et honnête, un autoportrait sonore. Inspiré du courant du cinéma direct, PICTURA DE IPSE : musique directe est un voyage où il est question d’aliénation, d’identité sexuelle, de vulnérabilité, de célébrité, de rejet social et émotionnel. Un quadriptyque où se croisent sonorités pop, R&B, field recording, jazz, mais aussi des élans de musique actuelle, d’électro-funk et de noise-rock. Constamment à la recherche de sa propre révolution, rien de peut arrêter Hubert Lenoir. Il dira oui à tout ce qui se présente à condition que ce soit fait à sa manière et rien d’autre !
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Prince invétéré de l’axe Saint-Prime-Saint-Félicien, figure emblématique d’une certaine chanson québécoise pure et brute, Fred Fortin est révélé en 1996 avec Joseph Antoine Frédéric Fortin Perron, un premier album qui lui vaut d’emblée un succès d’estime, une approbation critique unanime et un noyau de fans inconditionnels, pendus à ses lèvres depuis bientôt six albums, sans compter les vagabondages rock d’un certain mené.
Après les désormais légendaires Le plancher des vaches (2000) et Planter le décor (2004), son quatrième album, Plastrer la lune (2009) est retenu sur la longue liste du prestigieux prix Polaris et remporte deux GAMIQ: «Album Chanson» et «Auteur-compositeur de l’année». Fortin, fiable, poète rugueux, bassiste improbable ne déçoit jamais son public et arpente la province, homme-orchestre infatigable et insaisissable. Quand l’appel du gros rock abrasif et l’envie de sortir l’artillerie lourde remue ses entrailles, Fred Fortin retourne se défouler avec Gros Mené, projet fou-sauvage au sein duquel il laisse libre cours à des pulsions pas toujours politiquement correctes. Dans le détour, modestement, Fortin s’affaire à la réalisation de quelques albums qui ne sont pas les siens, dont Trois petits tours de Thomas Fersen en 2008. Un documentaire solaire d’Antoine Laprise intitulé La bête volumineuse paraît en 2011, rendant hommage à ses pérégrinations et célébrant son influence sur la scène rock québécoise indépendante. Il signe la musique originale et l’habillage sonore des quatre saisons de l’émission humoristique Les beaux malaises. À l’automne 2015, il collabore à Pag revisité, un album-hommage au répertoire de Michel Pagliaro, sur lequel il reprend «Fou de toi».
Puis, en mars 2016, Fred Fortin sort son cinquième album, Ultramarr, après sept longues années d’absence dans son incarnation solo. Le Québec tremble sous l’impact de ce retour inattendu et tant espéré: On ose parler de consécration, l’album récoltant les Félix «Auteur ou compositeur de l’année», «Album de l’année – Choix de la critique» et «Prise de son et mixage de l’année», en plus d’être en nomination dans la catégorie «Album de l’année – Rock» au gala de L’ADISQ la même année. Les bonnes nouvelles ne venant jamais seules: iTunes Canada l’élit meilleur album francophone de l’année au pays.
En août 2019, Fred Fortin dévoile par surprise son sixième album en carrière, Microdose. Un disque qui s’écoute comme une fenêtre entrebâillée sur un portrait de famille tracé à grands traits libres, déballé presque d'un coup par l'homme-orchestre qui refuse d'arrêter ses niaiseries et qui fuit à toutes jambes devant la proposition du mythe vivant, même à l'approche de la satanée cinquantaine. -
À la suite du succès de la pièce Ça va ça va sortie en 2017, l’autrice-compositrice-interprète de Québec Lou-Adriane Cassidy laissait déjà présager un avenir prometteur, malgré son jeune âge. Son premier album C’est la fin du monde à tous les jours, paru en en février 2019, réjouit autant le Québec que la France. Récipiendaire du Lucien pour l’album pop de l’année au GAMIQ 2019 et en nomination à l’ADISQ la même année dans la catégorie Adulte contemporain et Révélation de l’année, son nom fait rapidement son chemin. En 2020, l’académie Charles-Cros lui décerne son prestigieux prix Coup de cœur pour son premier album. Valorisant autant son talent d’autrice-compositrice que son statut d’interprète, elle mêle compositions et collaborations avec aisance et se met au service de l’œuvre qu’elle choisit.
Si l’automne 2021 a vu naître un deuxième long jeu, Lou-Adriane Cassidy vous dit: bonsoir, la jeune artiste brillera également encore afin de revisiter toutes les scènes désertées pendant la pandémie.
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Natif de St-Gédéon au Lac-Saint-Jean, Gabriel Desjardins a grandi dans une famille où la musique est omniprésente. Son intérêt pour celle-ci l’a amené à étudier le piano au Collège d’Alma et à l’Université Laval avant de compléter sa maîtrise à l’Université McGill, où il a été boursier de la Schulich School of Music. Il a été accompagnateur et chef musical de la classe de Ranee Lee pendant 4 ans et il agit maintenant à titre de professeur de piano jazz-pop au Collège d’Alma.
Depuis 2017, il a collaboré avec plusieurs artistes dont : Philippe Brach, Hubert Lenoir, Men I Trust, Les Louanges, Klô Pelgag, Daniel Bélanger, Patrick Watson, Patrice Michaud, la « BBC orchestra » de Londres, l’Orchestre Symphonique de Québec, l’Orchestre de l’Agora, l’Orchestre Symphonique de Montréal, Tire le Coyote, Lou-Adriane Cassidy, Gabrielle Shonk, Ghostly Kisses, l’Office National du film, Martin Léon, Jérôme 50, Jean-Michel Blais, Jesse Mac Cormack, Nicolas Ellis, Geoffroy, Apashe, Dany Placard, Peter Henry Philips et bien d’autres. Ses collaborations l’ont amené à se produire un peu partout dans le monde (Canada, Europe, États-Unis, Asie et Australie).
Depuis 2018, Gabriel a reçu le Félix de l’arrangeur de l’année à 2 reprises (2018 et 2022) et celui du compositeur de l’année (2018). Son travail sur la musique du film « Les Rose » a été également en nomination aux prix Gémeaux en 2021. Depuis, il a participé à plusieurs musiques à l’image dont la production Hollywoodienne Not Okay de Quinn Shepherd ainsi que « Les Belles-sœurs » de Michel Tremblay dans son adaptation pour le cinéma.
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Originaire d’Alma, Pierre-Olivier Gagnon enseigne la basse électrique au Collège d’Alma depuis 2016. Il a obtenu un baccalauréat en interprétation à l’Université du Québec à Montréal ainsi qu’une maîtrise en interprétation jazz-pop à l’Université Laval.
Au cours de sa carrière, il a accompagné de nombreux artistes de la chanson au Québec, en tournée au Canada, aux États-Unis et en Europe. À titre de bassiste, il a œuvré en tournée ou en remplacement pour plus de soixante artistes dont : Robert Charlebois, Bleu Jeans Bleu, Philippe Brach, Patrice Michaud, Gab Bouchard, Gabrielle Shonk, Matt Holubowksi, Dany Placard, Yoan, Peter Henry Phillips, Matt Lang, Bobby Bazini, etc…
Il a participé à des concerts au Centre Bell et au Centre Vidéotron incluant des artistes tels que Yoan, Michel Pagliaro, Isabelle Boulay, Brett Kissel et Dean Brody.
Sa riche expérience scénique lui a valu de remporter le Félix de « Spectacle de l’année – Auteur-compositeur-interprète » en 2018 sous la direction de Philippe Brach. Il a aussi joué la basse électrique sur plusieurs disques ayant remporté des Félix, dont le disque « Le silence des troupeaux » de Philippe Brach. Il œuvre également comme réalisateur et compositeur sur plusieurs productions au Québec.
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Amoureux de la musique depuis son jeune âge, c’est à 10 ans que Dominic Cloutier découvre sa passion pour la batterie. Il poursuit des études au niveau collégial et obtient un diplôme Techniques professionnelles de musique et de chanson au Collège d’Alma avec les professeurs Marc Bonneau et Richard Dallaire. Il obtient ensuite un Baccalauréat en interprétation jazz à l’Université de Montréal dans la classe de Paul Brochu. Par la suite, il participe à un stage de perfectionnement de quatre mois à New York, au sein du Drummer’s Collective avec Kim Plainfield, Nathaniel Townsley et Marko Djordjevic. Dominic Cloutier a joué avec plusieurs artistes tels que Jean-Pierre Ferland, Dan Bigras (Show du Refuge de 2010 à 2016), Alicia Moffet, La Zarra, Michel Pagliaro, Claude Dubois, Yves Duteil, Claude Barzotti et Herbert Léonard. On peut également l’entendre dans des comédies musicales telles que Footloose, Fame, Mamma Mia, La Mélodie du Bonheur et La Famille Addams. De plus, il est batteur du Emie R. Roussel Trio depuis 2011 avec lequel il a remporté le Prix Opus du disque jazz de l’année pour l’album Transit en 2014, ainsi que le Félix de l’album jazz de l’année à l’ADISQ pour Quantum en 2015. En 2021, le trio est en nomination aux Junos ainsi qu’au gala de L’ADISQ pour Album de l’Année avec « Rythme de Passage ». Au sein de ce trio, il s’est produit dans plus de 12 pays en Europe, en Asie, en Océanie et dans les Amériques. Il enseigne au Collège Vanier et il est professeur de batterie au Collège d’Alma.